dimanche 9 juillet 2023
dimanche 9 juillet 2023
20h30
20h30
Cour du Musée
Cour du Musée
La nuit américaine, Jean-Claude Henriot et Christophe Roy
La nuit américaine, Jean-Claude Henriot et Christophe Roy
La nuit américaine, Jean-Claude Henriot et Christophe Roy
MUSICIENS
MUSICIENS
Christophe Roy, violoncelle Jean-Claude Henriot, piano
Deux oeuvres se font face: la célèbre sonate de Franz Schubert, dite « Arpeggione », et l’immense pièce mythique de Morton Feldman «Patterns in a Chromatic Field ». La durée extraordinaire de l’oeuvre de Morton Feldman (plus de 80 minutes) inspire au Festival l’idée d’une écoute particulière: les auditeurs seront placés sur des chaises-longues, tout autour des deux musiciens de cette soirée, Christophe Roy au violoncelle et Jean Claude Henriot au piano. Une grande soirée en plein air, on peut apporter sa couverture! « Je ne crois même pas que ma musique soit douce… Ce qui est doux, ce sont les connexions . Ma musique est du même niveau sonore qu’un quatuor de Schubert. Si les choses semblent plus calmes, c’est parce que les liens sont plus longs. Ma musique ne possède pas cette harmonie romantique ou classique qui est comme de la colle. Et c’est cette colle qui empêche tous les bruits extérieurs d’y pénétrer. » Morton Feldman
Deux oeuvres se font face: la célèbre sonate de Franz Schubert, dite « Arpeggione », et l’immense pièce mythique de Morton Feldman «Patterns in a Chromatic Field ». La durée extraordinaire de l’oeuvre de Morton Feldman (plus de 80 minutes) inspire au Festival l’idée d’une écoute particulière: les auditeurs seront placés sur des chaises-longues, tout autour des deux musiciens de cette soirée, Christophe Roy au violoncelle et Jean Claude Henriot au piano. Une grande soirée en plein air, on peut apporter sa couverture! « Je ne crois même pas que ma musique soit douce… Ce qui est doux, ce sont les connexions . Ma musique est du même niveau sonore qu’un quatuor de Schubert. Si les choses semblent plus calmes, c’est parce que les liens sont plus longs. Ma musique ne possède pas cette harmonie romantique ou classique qui est comme de la colle. Et c’est cette colle qui empêche tous les bruits extérieurs d’y pénétrer. » Morton Feldman